Aujourd'hui en France, 2,5 millions de personnes sont en situation d'illettrisme après avoir été pourtant scolarisées en France. Chaque jour de leur vie, elles sont en difficulté avec l'écrit pour faire face à des situations simples au travail, en famille, en société. A ces personnes là, il faut rajouter toutes celles qui souffrent de ce handicap par le fait de ne pas maîtriser la langue française parce qu'étrangères, salariées et oubliées dans les campagnes françaises au milieu des vignes ou bien sous les arbres fruitiers. Etre illettré, c'est donc ne pas disposer des compétences de base (lecture, écriture, calcul) suffisantes pour faire face de manière autonome à des situations courantes de la vie quotidienne : écrire une liste de courses, lire une notice de médicament ou une consigne de sécurité, rédiger un chèque, utiliser un appareil, lire le carnet scolaire de son enfant, entrer dans la lecture d'un livre… Le 1er mars 2013, le label Grande Cause Nationale a été attribué par le Premier ministre au collectif "Agir ensemble contre l'illettrisme", fédéré par l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme (ANLCI). Le citoyen peut donc légitimement penser que l'Etat est conscient de cette situation et qu'il entend y remédier en aidant les associations qui luttent tous les jours contre ce fléau. Il n'en est rien. Les associations en charge de la lutte contre l'illettrisme sont confrontées à de réelles difficultés financières. Il faut savoir qu'encouragées par l'Etat, elles ont investi dans un personnel qualifié et salarié. Or, elles dépendent à 100% des aides de l'Etat, des régions, du FSE et des différentes collectivités. Impossibles pour elles de compter sur des recettes propres pour atteindre l'équilibre budgétaire. Le résultat est catastrophique et sur le terrain, l'avenir de ces associations est pour le moins très sombre. Très rares sont les banques qui suivent, les subventions prennent du retard ou sont tout simplement annulées, les conventions signées ne sont pas respectées et chaque "partenaire" pratique la politique de la "patate chaude" en déplaçant le problème sur le "partenaire" d'à côté. Voici un témoignage parlant qui émane d'une association qui est considérée comme l'une des plus importante de sa région : Loi1901 - Où en est votre association, financièrement ? Notre asso est en grande difficultés financières actuellement, et je me demande si nous allons survivre. En fait c'est le chat qui se mord la queue: les collectivités territoriales disent de demander à l'Europe, nous on ne peut pas faire plus et l'Europe répond que si les collectivités vous donnent plus on peut vous donner plus ! Comment l'état pourrait s'engager concrètement ? Tout simplement par le biais de l'agence nationale pour la cohésion sociale et l'égalité des chances, l'Acsé. Donner à chaque individu la possibilité de lire, écrire, comprendre est la base des l'égalité des chances. Nous avons sollicité cette agence mais point de subvention... Vous avez un exemple précis concernant votre état financier ? Oui, le bilan d'exécution financier 2012 pour le FSE. La participation européenne est un complément pour équilibrer ressources-dépenses. Ceci dans la limite des 50 %. Par exemple on a 20 000 euros de dépenses et 15 000 euros de recettes, ils donnent 5 000 €. Cela représente 25 %, avec cette somme, on passe. Or , par manque de ressources, la participation FSE pour nous doit être de 63 %. Nous ne passons donc pas. Si je diminue les dépenses dans le budget, (j'en ai le droit, pour arriver à 50%), je n'ai que 48 000€. Il me manque donc 20 000 euros. Je suis dans un casse tête angoissant. Avec 10 000 euros de subventions de plus, nous passions. Ces 10 000 je les ai de la préfecture, mais le FSE ne les veut pas sous prétexte qu'ils viennent déjà d'une enveloppe européenne. Si je reste à 48 000, je dois impérativement trouver 20 000 d'ici la fin de l'année. Bref, c'est l'angoisse... Il y a des Fondations qui vous aident ? Les fondations se défaussent, elles te disent "surtout pas pour le fonctionnement, nous ne voulons pas nous substituer à l'Etat". Vous êtes également formatrice au sein de votre association ? Oui, je suis co-fondatrice, trésorière et formatrice. Je passe mon temps à courir après l'argent, à supplier la banque de ne pas refuser les chèques des salaires. J'avoue que je suis fatiguée. Cela fait 9 ans que cela dure. Vous pensez que le label Grande Cause Nationale va vous aider ? Non, je ne le pense pas. Les collectivités territoriales sont notre seul soutien, quid de l'état ? Le Label est un écran de fumée, une façon de dire : "Voyez comme l'Etat vous soutient". Or, l'Etat ne fait pas grand chose... Ils auraient mieux fait de partager entre toutes les associations concernées, l'argent dépensé pour cette campagne... Mais il y a tout de même l'ANCLI, qu'en pensez-vous ? Pas de surprise, l'ANCLI reste dans une action d' évaluation, des préconisations, des propositions d'outils. De la communication en un mot. La cause nationale doit faire leurs affaires... Mais d'aides matérielles, point ! L'ANLCI dit favoriser la fédération et l'optimisation des moyens mobilisés par l'État, les collectivités territoriales, les entreprises et la société civile dans la lutte contre l'illettrisme. Mais quel soutien concret apportent-ils aux assos ? Rien. A titre d'exemple sur le portail qui concerne notre région, vous pouvez lire que la lutte contre l'illettrisme est confiée à des organismes de formation et sur le mode marché public. Et c'est là que le bât blesse. Il est plus économique de confier cette action à des organismes de formation,qui appartiennent à des grands groupes dans lesquelles les personnes sont perdues et n'apprennent rien. Plus un enseignement inadapté dans l'ensemble. Tout cela est bien hypocrite. Je reproche essentiellement à l'ANCLI d'être dans de la théorie, de faire uniquement de la communication, et de n'intervenir à aucun moment dans le soutien des assos de lutte contre l'illettrisme. Par exemple, ils ne les ont jamais recensées. Sur leur site, ils n'en parlent jamais alors que le plus gros du travail est fait par les assos. Je leur reproche aussi d'axer la question sur les enfants et le milieu scolaire,sans comprendre que l'action au niveau des parents est très importante. Des parents qui ne savent pas lire ne peuvent pas suivre la scolarité des enfants. Sans commentaire... mais beaucoup d'associations pourront se reconnaître dans ces propos. En savoir plus Illettrisme : On parle d'illettrisme pour des personnes qui, après avoir été scolarisées en France, n'ont pas acquis une maîtrise suffisante de la lecture, de l'écriture, du calcul, des compétences de base, pour être autonomes dans les situations simples de la vie courante. Analphabétisme : On parle d'analphabétisme pour désigner des personnes qui n'ont jamais été scolarisées. Il s'agit pour elles d'entrer dans un premier niveau d'apprentissage. Français Langue Etrangère (FLE) : Pour les nouveaux arrivants dans notre pays, dont ils ne parlent pas la langue, on parle de FLE. Il s'agit pour eux d'apprendre la langue du pays où ils résident. Ces 3 mots définissent donc des situations bien différentes mais qui recoupent le même besoin : apprendre à lire et à écrire... Agence Nationale de Lutte Contre l'Illettrisme Le label Grande Cause Nationale 2013 Réponse de la ministre déléguée auprès du ministre de l'éducation nationale, chargée de la réussite éducative, sur l'action de l'Etat pour lutter contre l'illettrisme. Question posée par Mr Jean-Luc Drapeau (député PS - Deux-Sèvres) Droit de réponse de l'ANLCI Nous avons pris connaissance de votre article sur la lutte contre l'illettrisme, grande cause nationale 2013. Certaines informations communiquées à vos lecteurs mettent en cause directement notre action et il nous a semblé très important, dans le souci d'apporter un éclairage aussi complet que possible à vos abonnés, de vous adresser ce message pour que vous puissiez le porter à la connaissance de tous ceux qui consulteront votre article ainsi que vos tweets. Nous aurions évidemment préféré nous adresser directement à l'auteur de l'article mais son caractère anonyme nous conduit à entrer en contact avec vous, en votre qualité de directeur de la publication. A la fin de l'année 2012, de nombreuses associations et grandes organisations impliquées dans la prévention et la lutte contre l'illettrisme se sont mobilisées (64 grands réseaux associatifs) autour d'une candidature commune pour que la lutte contre l'illettrisme obtienne le label grande cause nationale en 2013. C'est la société civile qui, à travers cette candidature unifiée, a manifesté sa volonté de faire en sorte que l'opinion publique soit mieux sensibilisée à l'existence de ce phénomène invisible et encore tabou. Cette candidature commune a été portée par notre agence au nom du collectif d'associations. Il est particulièrement important de souligner que l'attribution du label ne donne pas droit à l'octroi automatique de subventions à notre agence mais qu'il permet de bénéficier gratuitement d'espaces médiatiques pour diffuser une campagne d'information sur une cause encore méconnue. La campagne de sensibilisation a pour but d'informer l'opinion sur l'ampleur du phénomène et de montrer aux personnes concernées qu'elles peuvent réapprendre à lire et à écrire quel que soit leur âge, en leur faisant savoir que des solutions existent. C'est une occasion unique de valoriser le travail des salariés et des bénévoles des associations et des organismes qui agissent chaque jour auprès des personnes en situation d'illettrisme. Et nous comptons sur les assises régionales qui seront organisées dans chaque région de mai à juillet prochain pour laisser s'exprimer ceux qui agissent et recueillir leurs recommandations pour faire progresser l'action. Au-delà de l'espace médiatique qui est offert aux associations, l'attribution du label grande cause nationale nous aide aussi à amplifier la mobilisation contre l'illettrisme. Dans ce domaine et parce que les personnes concernées par l'illettrisme sont d'âge, de situations sociales, professionnelles très différentes, nous sommes convaincus que c'est en additionnant les initiatives de tous ceux qui ont les compétences et les moyens d'agir que nous pourrons obtenir des résultats. Le rôle de l'ANLCI est précisément de produire ce qui manque pour que l'action se développe. Elle met à la disposition de tous, le résultat de ce travail produit ensemble : une définition commune de l'illettrisme, des données chiffrées, une organisation du partenariat sur les territoires et des outils pour agir. Pour accompagner les associations dans le développement de leurs actions contre l'illettrisme, nous avons toujours fait le choix de partir de la réalité, de ce qui marche, pour le formaliser, le diffuser et mettre à la disposition de tous les outils qui ont fait leur preuve. Avec l'aide du fonds social européen, nous avons mené ces cinq dernières années en métropole et en outre-mer un programme important de diffusion des bonnes pratiques qui a bénéficié à 6.400 acteurs du champ associatif engagés dans la lutte contre l'illettrisme. Ces derniers y ont trouvé des outils pour agir et les moyens de se professionnaliser. Cette méthode de travail peut dérouter car elle ne repose ni sur une vision théorique et descendante de la résolution des problèmes, ni sur la création d'un fonds exceptionnel qui serait dédié à la lutte contre l'illettrisme, sorte de guichet unique qui saupoudrerait des subventions. Elle repose au contraire sur l'idée que les moyens consacrés à la lutte contre l'illettrisme sont plus importants lorsque tous ceux qui disposent des compétences pour agir (Etat, Collectivités locales et partenaires sociaux pour la formation professionnelle) prennent bien en compte les situations d'illettrisme dans leurs priorités, dans leurs programmes d'action et lorsque tous ceux qui se demandent comment faire pour agir ont accès aux méthodes et aux outils qui fonctionnent. Faire de l'illettrisme la grande cause nationale 2013 marque donc une étape très importante pour informer les décideurs sur ce phénomène et dissiper les idées reçues qui existent encore dans bien des esprits. Les derniers résultats de l'enquête conduite par l'INSEE en 2012 sur l'illettrisme attestent que cette méthode de travail est la seule qui produit des effets concrets car le taux d'illettrisme mesuré en 2012 avec les mêmes outils que ceux utilisés en 2004 a connu une baisse de 2 points (7% des personnes âgées de 18 à 65 ans en 2012 contre 9% en 2004). Cette tendance nous invite à poursuivre nos efforts car 2.500.000 personnes sont encore concernées. Elle doit inciter tous ceux qui financent les actions à inscrire leur engagement dans la durée. Je vous remercie de bien vouloir insérer ces éléments dans votre site pour permettre à vos lecteurs d'en prendre connaissance. Avec mes sincères salutations, Hervé Fernandez Directeur de l'Agence nationale de lutte contre l'illettrisme
Voici le tag Internet à sélectionner, à copier et à coller sans transformation dans la page du site où vous allez utiliser cet article. D'avance merci.
Illettrisme grande cause nationale et abandon local Aujourd'hui en France, 2,5 millions de personnes sont en situation d'illettrisme après avoir été pourtant scolarisées en France. Chaque jour de leur vie, elles sont en difficulté avec l'écrit pour faire face à des ... <a href="https://www.loi1901.com/intranet/a_news/index_news.php?Id=2004" target="_blank">Lire la suite sur Loi1901.com</a>
Est-il possible de déposer un recours contre un refus de subvention ?
29-04-2025
L'Article 9-1 de la loi 2000-321 du 12 avril 2000 définit ainsi la subvention : "Constituent des subventions les contributions facultatives de toute nature, valorisées dans l'acte
Panorama associatif numéro 129 : fin du mois d'avril 2025
Le Panorama associatif de Loi1901 a pour objectif de vous détailler plusieurs mesures qui ne peuvent pas faire l'objet d'un article complet, à l'unité, car trop courtes. Au
Appréciation stricte de la notion de la personne concernée
28-04-2025
Le référé pénal environnemental est un mécanisme qui permet, en cas de non-respect de certaines dispositions du code de l'environnement ou du code minier, au juge pénal d'ordonner
Connaissez-vous le principe du produit-partage ?
22-04-2025
Le principe du produit-partage est assez simple. Il s'agit de commercialiser un produit ou un service, dont tout ou partie du prix de vente sera reversé à une association ou à un
Ordonnance d'expulsion kafkaïenne d'une association
Imaginez-vous un instant la situation. Une association vient installer son activité derrière chez vous. Bruyante et odorante, une gêne s'installe quant à l'activité. Vous
Panorama associatif numéro 128 : fin du mois d'avril 2025
Obligation de sécurité et pratiques sportives : la jurisprudence
15-04-2025
Il fut un temps où lancer une compétition sportive était chose facile. J'ai été coureur cycliste amateur d'un assez bon niveau et je peux vous assurer que les conditions de
Panorama associatif numéro 127 : avril 2025
Subvention versus Contrat d'Engagement Républicain
Depuis la promulgation de la loi dite "séparatisme" d'août 2021, les associations bénéficiant de subventions publiques doivent respecter un Contrat d'Engagement Républicain. De
Panorama associatif numéro 126 : avril 2025
08-04-2025
Quand le modèle de la commande publique vient paupériser les associations
Depuis un peu plus d'une quinzaine d'années, l'État et les collectivités locales utilisent, pour financer les associations, de moins en moins les subventions et de plus en plus
Défenseur des droits : rapport annuel d'activité 2024
Face aux tensions grandissantes qui traversent notre société et fidèle à sa mission constitutionnelle, le Défenseur des droits s'est affirmé au fil des années comme un pôle de
La qualité de vie au travail dans le secteur associatif
Le secteur associatif se distingue (souvent) par l'engagement profond des salariés à la cause défendue. Mais hélas, les mêmes subissent des conditions de travail souvent
Exploitation à des fins politiques des radicalités dans le sport associatif
Bruno Retailleau a fait de sa lutte contre l'islamisme, sa reine des batailles. Et il veut tellement avoir raison, qu'il en arrive même à cacher un rapport (commandé par Darmanin)
186 000 emplois menacés dans tous les secteurs de l'ESS
01-04-2025
Le secteur de l'économie sociale et solidaire (ESS) s'inquiète (c'est un euphémisme) des coupes budgétaires qui menacent ses activités. De premiers plans sociaux sont annoncés,
Les actions associatives sous l'oeil de la Cour des comptes
25-03-2025
C'est à la demande du président de la commission des finances du Sénat, formulée par courrier en date du 1er janvier 2024, sur le fondement de l'article 58-2 de la loi organique
Ultra moderne solitude d'une société ultra connectée
18-03-2025
Nous empruntons le titre de cet article à une chanson d'Alain Souchon publiée en 1988 : "Ultra moderne solitude". Depuis près de quinze ans, la Fondation de France publie
Un logiciel gratuit pour faciliter le suivi des bénéficiaires et bénévoles
11-03-2025
Un logiciel gratuit qui propose une solution simple, intuitive et sécurisée pour gérer aussi bien les bénéficiaires d'un CCAS (Centre communal d'action sociale) que les bénévoles
Inégalités femmes hommes : rien de nouveau de l'école au marché du travail
04-03-2025
C'était la "grande cause nationale" de Macron en 2017 et 2022. Il voulait une politique d'égalité entre les femmes et les hommes tout comme il annonçait la fin des SDF dans nos
Relations associations et entreprises du secteur lucratif : soyez prudents
25-02-2025
Deux jurisprudences assez récentes devraient alerter les associations qui "fricotent" avec des entreprises du secteur lucratif (sociétés commerciales voire même OSBL assujettis
Associations : vous avez droit à l'exonération totale des droits de mutation
Il faut le dire et le répéter, les acteurs de l'économie sociale ignorent trop souvent la fiscalité relatives aux donations, legs et surtout les assurances vie dont bénéficient
Bien comprendre la fusion, la scission et l'apport partiel d'actif entre associations
La fusion, la scission et l'apport partiel d'actif entre associations possèdent un cadre juridique assez précis depuis la loi ESS du 31 juillet 2014. Ainsi, c'est l'article 71 de
L'animation aux rapports
En matière d'animation, la pédagogie ne se réduit ni à une méthode, ni à une technique. Elle se doit d'être une réflexion en action et une remise en cause permanente sur la
Appel à candidatures 2025 pour la politique de la ville
La réussite d'une politique de la ville repose sur "la capacité à différentier les territoires et sur la participation active des habitants des quartiers concernés pour déployer
Le parasitisme économique entre associations
Le parasitisme économique est le fait de "tirer indûment profit du savoir-faire et des efforts humains et financiers consentis par une association ou une entreprise, victime des
Formation à la gestion associative : un certificat satisfaisant ?
Le certificat de formation à la gestion associative (CFGA depuis 2008) est délivré aux personnes qui ont suivi une formation théorique (30 heures) et pratique (20 jours) en vue de
Comment serait la vie quotidienne sans les associations ?
Il est parfois utile de rappeler des évidences. Sans les associations, ce pays, notre pays, ne fonctionnerait pas. Les politiques, entre deux petits fours, nous expliquent que les
Connaissez-vous la venture philanthropy ?
On connaissait la joint-venture qui est une association d'entreprises ayant pour objet la réalisation d'un projet commun comme par exemple la production d'un bien ou d'un service
Evaluation des associations ou démarches standardisées ?
L'évaluation est le grand mot à la mode. Il faut évaluer, c'est aujourd'hui l'Alpha et l'Omega de la stratégie des politiques publiques. Mais évaluer comment ? Et sur quels
Associations : Construire et présenter un plan de financement prévisionnel
Faire un plan de financement pour le présenter à un financeur. Ah, combien d'heures passées et souvent perdues pour accoucher d'un document plus ou moins réussi, plus bancal que