Depuis 1999, nous inventons et offrons des services aux associations. De la comptabilté au juridique, de la création de sites internet à la communication, nous n'avons eu de cesse d'innover afin de proposer un rapport qualité / prix imbattable. Un seul objectif : une association avec un petit budget doit avoir les mêmes possibilités en matière de services que les plus importantes. Pari gagné depuis 19 ans !
Dans la vie, on ne peut pas avancer sans partager. En 19 ans, nous avons écrit et mis en ligne 2404 articles, 1169 brèves juridiques, 723 Lettrasso, répondu à 102 874 questions sur le Forum et accueilli 100 480 abonnés à Lettrasso. Depuis quelques mois, ce qui était gratuit ne l'est plus. Même les journalistes mangent, c'est dire... Mais nous faisons en sorte que 50% de nos articles restent en accès libre et le tarif du Forum est et restera à 3.60 € la réponse. Naturellement, toutes les archives sont gratuites et vous pouvez déposer et gérer gratuitement vos pétitions. Et bien sûr, notre MOOC comptable se pratique sans bourse déliée. Pour nous, l'argent n'est pas un but, c'est juste un moyen pour rester à vos côtés.
En 2002, nous avons créé un Intranet gratuit pour toutes les associations loi de 1901. Un Intranet ? A l'époque, très peu de gens savaient de que c'était. Aujourd'hui, 29 059 associations l'utilisent. Nous avons rajouté, au fil des ans, des modules de plus en plus performants. De la gestion des membres à votre Blog associatif, tout est possible ou presque dans cet espace dédié et gratuit. Depuis la dernière mise à jour du site, certains des services ci-dessous (marqués ) ne sont pas encore terminés. Tout est toujours plus long qu'on ne le pense avec l'informatique... Nous faisons le plus vite possible pour que vous en retrouviez l'usage.
©Loi1901.com a été créé et mis en ligne le 12-12-1999. Cela fait donc 19 ans cette année que le site ©Loi1901.com existe. Pour tout dire, une telle pérénnité est même tout à fait exceptionnelle. La durée de vie d'un site Internet peut varier de 6 mois à 10 ans pour les plus chanceux. Nous sommes là depuis 19 ans et nous préparons les 19 prochaines années avec la même foi. Créé à l'origine pour aider les responsables associatifs à optimiser le fonctionnement de leur structure, ©Loi1901.com est aujourd'hui le premier site d'informations et de services pour les associations. Merci à toutes celles et à tous ceux qui, très nombreux, nous sont restés indéfectiblement fidèles au fil de toutes ces années. C'est notre récompense.
Dans son programme électoral, le candidat Macron se disait être "favorable aux contrats aidés mais uniquement dans le privé." En d'autres termes, il pensait que ce type de contrat était utile aux associations et entreprises, mais pas aux collectivités. Aujourd'hui, c'est donc la douche froide dans le landerneau associatif qui découvre, mais un peu tard, que les promesses n'engagent que ceux qui les croient. Cette politique d'accompagnement social du marché de l'emploi, telle que définie par le premier ministre n'est donc plus d'actualité. Nous avons pu le vérifier auprès de Pôle Emploi. Cet organisme explique tranquillement que les CAE ne sont plus financés par l'Etat. Dans le "Grand Entretien" que le président de la République a donné au magazine Le Point le jeudi 31 août, il a précisé un peu de sa pensée, concernant les contrats aidés. Pour lui, il s'agit "d'une politique conjoncturelle, quand elle n'est pas clientéliste." Il persiste un peu plus avant dans l'entretien : "les contrats aidés constituent trop souvent une perversion de la politique de l'emploi. Certains sont utiles, d'autres non." Très en verve, le président poursuit sa démonstration sur un ton "jupitérien" : "Un contrat aidé, c'est une subvention déguisée pour les collectivités locales ou le secteur associatif. Ces secteurs ont toute leur utilité, mais, dans ce cas, cela doit entrer dans la dotation des collectivités locales ou dans les subventions aux associations, mais qu'on ne nous dise pas que c'est une politique de l'emploi." Décidément très en forme, notre athlète approfondit sa pensée en lâchant, quelque peu martial : "Il s'agit essentiellement d'une politique conjoncturelle, quand elle n'est pas clientéliste, et qui suit souvent le cycle électoral." On ne peut passer sous silence que le taux de retour à l'emploi durable des personnes concernées est en effet très faible. Que les formations qui devraient accompagner ces emplois ne sont pas toujours au rendez-vous et que plus l'association est importante, plus la fin du contrat pousse le salarié vers la porte. Mais, nous avons également de très nombreux exemples de petites (moins de 153 000 euros de CA annuel) et d'associations moyennes (plus de 153 000 euros de CA annuel), qui ont su utiliser les emplois aidés comme une période d'essai avec une formation à la clé et que dans 90 cas sur 100, le contrat se transformait en CDI. Enfin et surtout, pour nombre de jeunes, ce coup de pousse leur aura permis d’entrer dans le monde du travail et de mieux cerner leurs attentes. Les associations qui ont ainsi recruté par contrat aidé ont bien souvent été plus loin que la réponse à leur propre besoin. Elles ont encadré, repris des jeunes qui ne trouvaient plus leur place dans le système scolaire. Cette approche rentre difficilement dans un plan comptable, mais combien coûte à la collectivité l'échec répété d'une intégration par le travail ? La politique consiste aussi bien à avoir une vue d'ensemble des problèmes que de savoir préserver ce qui fonctionne, voire d'aider à son développement, sans idéologie ni parti pris. Le président fait du neuf avec du vieux comme on pouvait s'y attendre. Gageons qu'après avoir facilité le licenciement dans les entreprises avec un code du travail "light", la courbe du chômage plongera dans les abîmes. Il ressortira alors de sa manche une politique d'accompagnement social du marché de l'emploi qu'il nommera sans doute "contrat accompagné", tout en prétextant ne pas refaire du "contrat aidé" à vocation conjoncturelle, voire clientéliste... Pendant ce temps là, combien d'associations auront encore disparu ? En savoir plus l'UDES (Union des employeurs de l'économie sociale et solidaire) interpelle le Premier ministre sur la réduction des contrats aidés annoncée par le gouvernement qui aurait de graves conséquences Le Mouvement associatif dénonce l’annonce sans préavis et sans concertation de la réduction brutale des contrats aidés en 2017 et leur diminution drastique en 2018. Voici une liste de pétitions à signer pour obliger le gouvernement à reconsidérer sa position sur la fin des contrats aidés : Suppression des contrats aidés : vers la fin des associations ? Suppression des Contrats Aidés, c'est la fin des Associations ! La fin des CAE-CUI signifie la fin des subventions gouvernementales à l'embauche.
Brève en copie partielle autoriséeVoici le tag Internet à sélectionner, à copier et à coller dans la page du site où vous allez utiliser cet article. D'avance merci.
Les contrats aidés ont besoin de notre aide Dans son programme électoral, le candidat Macron se disait être "favorable aux contrats aidés mais uniquement dans le privé." En d'autres termes, il pensait que ce type de contrat était utile aux associations et <a href="https://www.loi1901.com/breves_associatives.php?moteur1=1066" target="_blank">Lire la suite sur Loi1901.com</a>
Les questions au gouvernement, qu'elles soient orales et écrites, sont les instruments de contrôle de l’activité du Gouvernement à la disposition des parlementaires depuis la Constitution de 1958. Procédure renforcée par les révisions constitutionnelles de 1995 et de 2008. Depuis le lancement de la modernisation de l'Assemblée nationale en 2017, les citoyens peuvent à leur
Elles ne sont pas très nombreuses, mais elles ont le mérite d'exister. Pas de révolution donc, mais une résolution marquée de simplifier les rapports entre l'administration et les associations. Sous la férule du SIVA (Systèmes d'information de la vie associative), les développeurs ont planché sur la création de services qui apporteront un plus dans la compréhension du secteur
Cinq leçons pour bien démarrer
Bénévole ou professionnel débutant, vous venez de prendre la direction d'une association, bravo ! Mais tenir la comptabilité d'une association est aujourd'hui presque un métier !
La loi du 1er juillet 1901 n'impose aucune obligation en matière comptable. Les statuts prévoient généralement que le trésorier rend compte de sa gestion et soumet les comptes à l'approbation de l'assemblée.
Vous allez commencer votre comptabilité. C'est simple à partir du moment où vous aurez bien assimilé les principes exposés ci-dessous. La comptabilité est essentiellement une question d'organisation
Une comptabilité de trésorerie est basée sur le principe "encaissements / décaissements". Ainsi, les recettes et les dépenses ne sont prises en compte que lorsqu'elles sont effectivement perçues ou payées.
Une comptabilité d'engagement (dite aussi à partie double) repose sur le principe "créances acquises et dettes certaines". Les opérations (recettes et dépenses) sont prises en compte dès qu'elles
Classement des 12 premières fiches lues