Depuis 1999, nous inventons et offrons des services aux associations. De la comptabilté au juridique, de la création de sites internet à la communication, nous n'avons eu de cesse d'innover afin de proposer un rapport qualité / prix imbattable. Un seul objectif : une association avec un petit budget doit avoir les mêmes possibilités en matière de services que les plus importantes. Pari gagné depuis 25 ans !
Dans la vie, on ne peut pas avancer sans partager. En 25 ans, nous avons écrit et mis en ligne 2611 articles, 2185 brèves juridiques, 1014 Lettrasso, répondu à 103 400 questions sur le Forum et accueilli 131 235 abonnés à Lettrasso. Depuis quelques mois, ce qui était gratuit ne l'est plus. Même les journalistes mangent, c'est dire... Mais nous faisons en sorte que 50% de nos articles restent en accès libre et le tarif du Forum est et restera à 3.60 € la réponse. Naturellement, toutes les archives sont gratuites et vous pouvez déposer et gérer gratuitement vos pétitions. Et bien sûr, notre MOOC comptable se pratique sans bourse déliée. Pour nous, l'argent n'est pas un but, c'est juste un moyen pour rester à vos côtés.
En 2002, nous avons créé un Intranet gratuit pour toutes les associations loi de 1901. Un Intranet ? A l'époque, très peu de gens savaient de que c'était. Aujourd'hui, 29 063 associations l'utilisent. Nous avons rajouté, au fil des ans, des modules de plus en plus performants. De la gestion des membres à votre Blog associatif, tout est possible ou presque dans cet espace dédié et gratuit. Depuis la dernière mise à jour du site, certains des services ci-dessous (marqués ) ne sont pas encore terminés. Tout est toujours plus long qu'on ne le pense avec l'informatique... Nous faisons le plus vite possible pour que vous en retrouviez l'usage.
Nous avons un gouvernement formidable. Les ministres se répandent actuellement sur tous les médias pour nous expliquer qu'ils entendent assouplir le protocole sanitaire afin de permettre aux résidents des Ehpad de bénéficier de "sorties autorisées". Or, c'est un gros mensonge (1). Ce n'est pas le gouvernement qui se montre magnanime, c'est le juge des référés du Conseil d'État (2) qui estime que l'interdiction de sortie de nos anciens est disproportionnée et la suspend. Le juge des référés du Conseil d'État a été saisi par les enfants d'une résidente à qui, une fiche du ministère de la Santé (du 28 janvier 2021), expliquait que "les sorties dans les familles et pour des activités extérieures étaient suspendues temporairement jusqu'à nouvel ordre". Le jugement rendu par le Conseil d'État est intéressant à plusieurs titres. Tout d'abord, pour saisir en urgence le juge des référés, les enfants de la résidente relèvent que : 1 il est porté une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté d'aller et venir ; 2 de telles mesures d'enfermement s'appliquent de manière indifférenciée aux résidents sans distinguer selon qu'ils sont vaccinés ou non. Ce dernier argument oblige ainsi le juge à aborder la question de l'efficacité des vaccins contre la Covid-19. Et sur ce point, le juge qui ne manque pas d'humour, relève l'argumentation avancée par le ministère de la santé pour justifier son interdiction : "L'administration fait néanmoins valoir, d'une part l'existence d'études récentes invitant à la prudence quant à l'absence de contagiosité des personnes vaccinées, d'autres part, l'incertitude scientifique sur l'immunité conférée par la vaccination en cours à l'égard des variants du virus". Voici donc un ministère de la santé, qui veut imposer la vaccination à l'ensemble de la population, qui veut nous obliger à utiliser un "PassSanitaire" pour avoir le droit de vivre normalement, et qui remet en cause l'efficacité des vaccins contre la Covid-19 en se fondant notamment sur des études "récentes". Pire, le ministère dénonce même "la survenue de foyers de contamination de résidents et de personnels dans certains EHPAD où la campagne de vaccination a eu lieu". Mais à quoi servent les vaccins ? Face à une telle "révélation" du ministère, le juge rappelle les "objectifs" d'une instruction interministérielle, en date du 15 décembre 2020, ayant précisé le cadre de mise en oeuvre de la première étape de la campagne nationale de vaccination comme étant l'une des mesures prises pour lutter contre l'épidémie : "la stratégie nationale de vaccination Covid-19 a pour objectifs principaux de faire baisser la mortalité et les formes graves de la maladie, de protéger les Français et notre système de santé et de garantir la sécurité sanitaire de tous les patients". Ainsi selon le juge, pour justifier "l'emprisonnement" de nos anciens, le ministère de la santé et la haute autorité de santé se permettent de diffuser des informations, pour le moins inexactes et contradictoires. Ainsi, lors de la conférence de presse tenue le 18 février 2021, par le ministre de la santé, ce dernier avoue que la preuve n'est pas apportée que ces vaccins contre la Covid-19 préviennent contre notamment les formes "graves" de cette maladie. (Vidéo de la conférence de presse). Devant ce qu'il faut bien appeler des mensonges, mais que le juge relève comme des incohérences, il a été amené à accueillir favorablement la demande des enfants de cette résidente. Il a donc prononcé la suspension de ces recommandations qui "prescrivent d'interdire les sorties des résidents des EHPAD". Et pour montrer son agacement, alors que les requérants n'avaient sollicité que "3 000 euros" au titre de l'article L.761-1 du code de justice administrative, le juge condamne l'État à leur payer la somme de "3 500 euros". Mentir, ce n'est pas bien, surtout quand on a la charge de diriger un pays de 67 000 000 d'habitants fatigués pour certains, très en colère pour d'autres. En savoir plus (1) Voici une preuve radiophonique du mensonge actuel. La ministre chargée de l'Autonomie, Brigitte Bourguignon, a précisé sur France Inter le mardi 9 mars 2021 (soit 6 jours après le jugement du Conseil d'Etat) qu'il y a "des mesures d'allégement qui sont vitales et nécessaires". Après un an de restrictions, "le gouvernement souhaite soulager la pression qui régnait alors parmi les populations les plus âgées et isolées". Pas un mot sur l'obligation faite par le jugement du Conseil d'Etat. Et bien sûr, les journalistes n'ont pas relevé le mensonge. La servilité à sûrement un prix. Le téléphone sonne sur France Inter (2) Le Conseil d'État suspend l'interdiction générale et absolue de sortie des résidents d'EHPAD
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EHPAD : l'ouverture des portes se précise Nous avons un gouvernement formidable. Les ministres se répandent actuellement sur tous les médias pour nous expliquer qu'ils entendent assouplir le protocole sanitaire afin de permettre aux résidents des Ehpad de ... <a href="https://www.loi1901.com/intranet/a_news/index_news.php?Id=2618" target="_blank">Lire la suite sur Loi1901.com</a>
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